Neottiglossa pusilla (Gmelin, 1790)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Pentatomidae
Sous-Famille :
Pentatominae
Genre :
Neottiglossa
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- 2 observations
-
2
communes -
2
observateurs -
Première observation
2024 -
Dernière observation
2024
Adam Nataël
-
Brook Shamgar
Informations espèce
Taille : 4 – 6 mm
Diagnose :
Petite punaise foncée et brunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Une petite tache noire est présente à l’extrémité de son scutellum. Scutellum qui ne dépasse pas la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Le connexivum (bord de l’abdomen) porte un liseré clair externe. Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
C’est la plus petite et la plus sombre des Neottiglossa. On la distingue par son ventre presque entièrement couvert d’une tache noir-bronzé, les parties latéro-ventrales de l’abdomen ponctuées de noir et par son connexivum noir bordé d’un fin liseré clair externe.
Période d’observation :
Mai à octobre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur beaucoup de graminées : agrostides, avoines, fromental, canches, fétuques, molinies, fléoles, pâturins. Les laîches des zones marécageuses font aussi partie de leur régime alimentaire.
Biogéographie et écologie :
Espèce à distribution eurosibérienne, atteignant la Scandinavie jusqu'à 66° de latitude nord, et répandue vers l’est dans toute la Sibérie jusqu’en Corée. Elle s’observe jusqu'à 1 800 m d’altitude. On la rencontre en milieux herbeux, frais et humides, sur sol acide : landes à bruyères et molinies, abords des marais et des tourbières, clairières, lisières forestières, et prairies naturelles, pelouses montagnardes. Espèce assez commune dans les habitats favorables préservés.
Diagnose :
Petite punaise foncée et brunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Une petite tache noire est présente à l’extrémité de son scutellum. Scutellum qui ne dépasse pas la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Le connexivum (bord de l’abdomen) porte un liseré clair externe. Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
C’est la plus petite et la plus sombre des Neottiglossa. On la distingue par son ventre presque entièrement couvert d’une tache noir-bronzé, les parties latéro-ventrales de l’abdomen ponctuées de noir et par son connexivum noir bordé d’un fin liseré clair externe.
Période d’observation :
Mai à octobre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur beaucoup de graminées : agrostides, avoines, fromental, canches, fétuques, molinies, fléoles, pâturins. Les laîches des zones marécageuses font aussi partie de leur régime alimentaire.
Biogéographie et écologie :
Espèce à distribution eurosibérienne, atteignant la Scandinavie jusqu'à 66° de latitude nord, et répandue vers l’est dans toute la Sibérie jusqu’en Corée. Elle s’observe jusqu'à 1 800 m d’altitude. On la rencontre en milieux herbeux, frais et humides, sur sol acide : landes à bruyères et molinies, abords des marais et des tourbières, clairières, lisières forestières, et prairies naturelles, pelouses montagnardes. Espèce assez commune dans les habitats favorables préservés.
Non renseigné pour le moment
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Cimex pusilla Gmelin, 1790
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Neottiglossa inflexa (Wolff, 1806)
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