Aelia rostrata rostrata Boheman, 1852
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Pentatomidae
Sous-Famille :
Pentatominae
Genre :
Aelia
Espèce :
Aelia rostrata
-
1
observation -
1
commune -
1
observateur -
Première observation
2024 -
Dernière observation
2024
Pélissié Mathieu
Informations espèce
Taille : 9,5 – 12 mm
Diagnose :
Punaise jaunâtre fusiforme à la tête allongée et triangulaire, et le dessus du corps avec des lignes longitudinales plus sombres contrastées. Scutellum avec une ligne centrale longitudinale blanche ceinturée de 2 lignes noires contrastées sur sa moitié antérieure. Fémurs intermédiaires et postérieurs avec une tache ou sans tache noire. Nervure radiale des cories non soulignée d’un trait noir sur son bord interne. Son menton sous sa tête (buccules) avec 2 dents aigües.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
La sous-espèce rostrata se distingue des grands Aelia par ses buccules dentées, et d’A. notata par sa plus grande taille.
Période d’observation :
Avril à octobre.
Biologie-éthologie :
Sur une large variété de graminées, incluant plusieurs céréales (blé, orge, seigle) dont c'est un ravageur important dans les pays méditerranéens.
Biogéographie et écologie :
Espèce ouest-paléarctique, comprenant la sous-espèce cognata qui a une distribution circum-méditerranéenne. Elle doit être capable de se déplacer sur de longues distances, car elle est présente seulement certaines années au Danemark, Finlande et Suède jusqu'à 60° de latitude nord. Elle vit dans tous les milieux herbeux secs, riches en graminées et pauvres en matières azotées : friches, prairies, pelouses, garrigues et maquis, bord des chemins, cultures. En zone méditerranéenne, on la trouve aussi en milieux frais et humides comme les marais. A. rostrata rostrata est relativement commune le long de la côte atlantique ainsi que sur les reliefs bordant la Méditerranée. Par contre elle devient plus rare ailleurs en ayant peut-être même disparu du nord-est.
Diagnose :
Punaise jaunâtre fusiforme à la tête allongée et triangulaire, et le dessus du corps avec des lignes longitudinales plus sombres contrastées. Scutellum avec une ligne centrale longitudinale blanche ceinturée de 2 lignes noires contrastées sur sa moitié antérieure. Fémurs intermédiaires et postérieurs avec une tache ou sans tache noire. Nervure radiale des cories non soulignée d’un trait noir sur son bord interne. Son menton sous sa tête (buccules) avec 2 dents aigües.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
La sous-espèce rostrata se distingue des grands Aelia par ses buccules dentées, et d’A. notata par sa plus grande taille.
Période d’observation :
Avril à octobre.
Biologie-éthologie :
Sur une large variété de graminées, incluant plusieurs céréales (blé, orge, seigle) dont c'est un ravageur important dans les pays méditerranéens.
Biogéographie et écologie :
Espèce ouest-paléarctique, comprenant la sous-espèce cognata qui a une distribution circum-méditerranéenne. Elle doit être capable de se déplacer sur de longues distances, car elle est présente seulement certaines années au Danemark, Finlande et Suède jusqu'à 60° de latitude nord. Elle vit dans tous les milieux herbeux secs, riches en graminées et pauvres en matières azotées : friches, prairies, pelouses, garrigues et maquis, bord des chemins, cultures. En zone méditerranéenne, on la trouve aussi en milieux frais et humides comme les marais. A. rostrata rostrata est relativement commune le long de la côte atlantique ainsi que sur les reliefs bordant la Méditerranée. Par contre elle devient plus rare ailleurs en ayant peut-être même disparu du nord-est.
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